A titre de rappel, le rapport du Cigref expose dans son avant-propos que '"l’économie post-industrielle dans laquelle nous nous trouvons est marquée par une création de valeur passant par la valorisation d’actifs immatériels tels que les actifs de connaissance".
Dans son nouvel appel à experts, l'Afnor, avec les travaux de normalisation en cours sur la série ISO 8000 consacrée à la qualité des données, fait le lien fortement et clairement : "il s'agit de disposer d'un capital de données de qualité [qui] devient une nécessité primordiale" dans les entreprises et les administrations. Ces données concernent tant les informations administratives (réglementation et législation), commerciales (données client orientées satisfaction), opérationnelles (productivité et valuer ajoutée) que financières (conformité aux référentiels sectoriels).
A noter que seulement 16% des entreprises ont mis en place un programme de qualité des données.
Ces travaux s'effectuent dans le cadre du comité ISO/TC184 intitulé "systèmes d'automatisation et intégration"
et couvrent les champs des données de production, de mesure, d'échange en ajoutant le concept de "master data" qui correspondent aux données essentielles pour la pérenité de l'organisation concernée.
Les enjeux de qualité des données en lien avec la gestion des connaissances et plus généralement la gestion des informations et des documents des processus sont appliqués comme le montre les participations actives des Japon, la France, la Grande-Bretagne, les Etats Unis, la Corée pour les secteurs automobiles, aéronautique, défense, solutions de management et de e-commerce.
Ces travaux sont évidemment à rapprocher des travaux effectués actuellement dans le cadre du TC46 SC11 sur la gestion des informations et documents dans les entreprises ou records management d'autant plus que la nouvelle série des normes ISO3030X incluent la certification des système de gestion des informations incluant les données.
Bref, la qualité de la donnée est source de la qualité des informations et des documents, qui sont eux mêmes les sources des connaissances de réflexion et opérationnelles, le tout constituant le support d'un capital immatériel des organisations : donc quatre fois pertinent de s'y impliquer !
Pour tout expert intéressé, le contact référent à l'Afnor est Catherine Protic.
Dans son nouvel appel à experts, l'Afnor, avec les travaux de normalisation en cours sur la série ISO 8000 consacrée à la qualité des données, fait le lien fortement et clairement : "il s'agit de disposer d'un capital de données de qualité [qui] devient une nécessité primordiale" dans les entreprises et les administrations. Ces données concernent tant les informations administratives (réglementation et législation), commerciales (données client orientées satisfaction), opérationnelles (productivité et valuer ajoutée) que financières (conformité aux référentiels sectoriels).
A noter que seulement 16% des entreprises ont mis en place un programme de qualité des données.
Ces travaux s'effectuent dans le cadre du comité ISO/TC184 intitulé "systèmes d'automatisation et intégration"
et couvrent les champs des données de production, de mesure, d'échange en ajoutant le concept de "master data" qui correspondent aux données essentielles pour la pérenité de l'organisation concernée.
Les enjeux de qualité des données en lien avec la gestion des connaissances et plus généralement la gestion des informations et des documents des processus sont appliqués comme le montre les participations actives des Japon, la France, la Grande-Bretagne, les Etats Unis, la Corée pour les secteurs automobiles, aéronautique, défense, solutions de management et de e-commerce.
Ces travaux sont évidemment à rapprocher des travaux effectués actuellement dans le cadre du TC46 SC11 sur la gestion des informations et documents dans les entreprises ou records management d'autant plus que la nouvelle série des normes ISO3030X incluent la certification des système de gestion des informations incluant les données.
Bref, la qualité de la donnée est source de la qualité des informations et des documents, qui sont eux mêmes les sources des connaissances de réflexion et opérationnelles, le tout constituant le support d'un capital immatériel des organisations : donc quatre fois pertinent de s'y impliquer !
Pour tout expert intéressé, le contact référent à l'Afnor est Catherine Protic.