dimanche 22 mars 2015

Gouvernance de l'information 2015 : le baromètre Serda-Archimag est maintenant accessible

300 organisations publiques comme privées ont répondu au questionnaire Serda-Archimag ! Les actions majeures sont engagées (61%) contre la surproduction des données et documents internes.

Restent 39% des organisations qui n'ont pas encore compris le problème !

On constate aussi que la perception des acteurs sur le terrain pour réussir un tel combat est le besoin d'avoir à ses côtés un engagement fort de la part de la direction générale : pour 57%, les directions manquent encore à leur devoir !

A noter la très forte progression des projets sur la période de 2011 à 2015 : plus 32%... Le sujet est aujourd'hui devenu parfaitement mature ! Les retours d'expérience abondent et les compétences des consultants spécialisés (ne nous oublions pas !)  sont démontrées !

La complexité de la gouvernance reste tout de même l'hybridation des formats et des supports : la question de la gestion des supports papier reste encore à 34% un sujet [encore] à traiter (étonnement !), autant que le partage collaboratif, l'archivage électronique, les messageries qui sont aussi à plus de 30% !

A la question de "l'outillage méthodologique", je vous propose d'accéder au livre blanc ici et de découvrir en page 19 particulièrement la hiérarchisation des différentes règles (accès, classement, destruction, conservation, collaboration, ...) en vous connectant et en téléchargeant le rapport.


Faites vous partie des des 40% des organisations qui sont encore inactives ? Si oui, il est temps de démarrer le ou les projets sur les bonnes bases ! et si vous faites partie des 60% qui ont ont démarrer une mise en place de la gouvernance, benchmarkez vous !

Documation 2015 a vu remettre de nombreux Awards à de brillants candidats acteurs de la Gouvernance dans leur organisation : DCNS avec Delphine Mouchel, Conseil Général Seine Saint denis avec Jannick LABATUT, etc. C'est la preuve qu'une gouvernance de l'information est de facto devenu l'état de l'art... donc une quasi-obligation pour toute organisation !

Pour télécharger le rapport, cliquez ici !

La nouvelle messagerie fantôme de Warren Barthes : confidentialcc... Encore plus fort que les messages cryptés !

Une fois transféré et lu, le message est effacé !

L'application est installée et permet à l'utilisateur de transmettre le message confidentiel à son destinataire. Dès que le message est transmis au serveur dédié à cette application, le message est effacé de la messagerie de l'émetteur, dès que le message est lu par le destinataire, le message est aussi effacé du serveur et de la messagerie du destinataire.
Plus fort, au fur est à mesure que le message est affiché, la partie en cours de lecture est visible et claire, et les parties amont et aval sont floutées pour que l'ensemble du message ne soit pas visible à un instant donné.

Question d'actualité : en cas de requête judiciaire, il est possible de conserver les pièces .. mais seulement dans ce cas là.
Question suivante : qu'en est-il des métadonnées (traces) et sauvegardes ? L'effacement du message dans la messagerie de l'émetteur, du destinataire et des serveurs de message garantissent-ils aussi l'effacement de toutes les données de traces ? Là, c'est moins clair dans les posts et articles du Web !

Sachant que ces messages en environnement professionnel sont souvent les plus importants, quid de leur intégration ou "non intégration" dans un système de records management ? Faut-il recommander la création de cette nouvelle catégorie dans le cadre du système de gouvernance de l'information, et si oui, comment la qualifier ?

En tout état de cause, à titre privé, nombre d'impostures vont trouver leur solution de confidentialité dans cette technologie !

Pour en savoir plus ... et aussi là